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Comprendre les étiquettes

Bon nombre d’entre nous consomme des produits issus de grandes surfaces.

Tous ces produits sont étiquetés, il est donc primordial de savoir lire les étiquettes alimentaires afin d’éviter certains pièges.

Afin de bien comprendre les tableaux de valeurs nutritionnelles vous devez savoir identifier les différents éléments cités.




On retrouve les nutriments :


Les protéines sont les éléments bâtisseurs du corps, vous ne devez pas faire particulièrement attention au pourcentage de protéines dans un produit.

Il existe des protéines animales (viandes, poisson, œufs, produits laitiers) et des protéines végétales (céréales, légumes secs).


Les glucides correspondent aux sucres, qu’ils soient simples (rapides) ou complexes (lents). Vous devrez contrôler leur quantité si vous êtes diabétique, intolérant au glucose, ou si vous cherchez à perdre du poids.


Les lipides sont les graisses.

On les classe en deux catégories :

Les graisses saturées qui sont à limiter (beurre, crème fraiche, huile de palme, viandes, charcuteries, œufs…) et les graisses insaturées dites « bonnes graisses » (huiles végétales : olive, noix, arachide, colza, soja, tournesol…margarine et poissons).


Ce sont les seuls nutriments qui vont apporter des calories, les autres nutriments restent néanmoins indispensables pour le bon fonctionnement de l’organisme (vitamines et sels minéraux).


Les calories correspondent à l’énergie que l’on va apporter à l’organisme en consommant un aliment.

En diététique, et sur les tableaux de valeurs nutritionnelles présents sur les étiquettes, on parle en termes de kilocalories (Kcal) ou Kilojoules (Kj).

1g de protéines équivaut à 4Kcal ou 17 Kj1g de lipides correspond à 9Kcal ou 38Kj1g de glucides apportera 4Kcal ou 17KJ.


Attention à certaines appellations trompeuses telles que « matières grasses végétales » qui sont bien souvent de l’huile de palme, « huiles végétales hydrogénées » correspond à des huiles transformées qui ont pour effet néfaste d’obstruer les vaisseaux sanguins.

Et aussi au terme « polyols » qui sont les faux sucres (édulcorants) dont la consommation journalière est à limiter.


Savoir identifier les additifs alimentaires et aussi important pour une alimentation avisée. Ce sont des substances ajoutées volontairement à l’aliment à dose extrêmement faible.

En général ils permettent aux aliments de se conserver; certains empêchent la détérioration chimique, d’autres évitent le développement des bactéries et des moisissures.

Pour qu’un additif soit utilisé, il faut qu’il soit sur une « liste positive » par autorisation ministérielle. Pour être autorisé, un additif est soumis à des études sévères menées par des experts, qui fixent une Dose Journalière Admissible (DJA) qui est la dose qui peut être ingérée par jour pendant la vie entière d’un individu sans qu’il en résulte de danger pour sa santé.


Pour savoir si un produit en contient lisez les étiquettes car tous les additifs sont mentionnés à l’aide d’un code E…(ex: E250=Nitrite de sodium)


  • Les colorants E100 à E199

  • Les conservateurs E200 à E299

  • Les anti-oxygènes E300 à E399

  • Les agents de textures E400 à E499


Ces produits sont-ils nocifs ?

Une règle d’or de la toxicologie dit :« Rien n’est poison, tout est poison, seule la dose fait le poison ».


Mes conseils :


Variez votre alimentation.

Évitez les produits ayant plus de 3 additifs.

Cuisinez le plus possible des plats « fait maison ».



Les dates limites de consommation des produits sont classées en deux groupes :

Les DLC (date limite de consommation) généralement pour les produits frais : au-delà de cette date il y a un danger sanitaire.

Les DLUO (date limite d’utilisation optimale) pour les produits secs : au-delà de cette date les qualités gustatives et nutritionnelles peuvent diminuer mais il n’y pas de risque sanitaire.


Il existe des labels qui permettent d’évaluer la qualité des produits : voir article " repérez la qualité !"


Pour les œufs : Il existe une série de chiffres et lettres pour identifier la provenance :

Les premiers chiffres correspondent au mode d’élevage :


0 : produit issu de l’agriculture biologique

1 : poule élevée en plein air

2: poule élevée au sol

3: poule élevée en cage


Ensuite vient les deux premières lettres du pays d’origine (FR pour France), les initiales de l’éleveur et le numéro de bâtiment.


Exemple : 1FRDGE01


Pour les poissons les règles sont les suivantes :-

Pour les produits d’élevage, le nom de la zone est celui du pays dans lequel a lieu l’élevage.

Pour les produits pêchés en eaux douces, le nom de la zone est celui du pays dans lequel a lieu la pêche.

Pour les poissons péchés en mer il existe en code correspondant à une région de pêche ( exemple : 81 pour l’océan pacifique)

N’oubliez pas : la santé vient en mangeant !

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